• Voilà un mini article sur Gazette... c'est un groupe que j'aime énormément et je viens de me rendre compte que je n'en avais tjrs pas parlé sur ce blog ( cette fois, c'est moi qui suis vraiment impardonnable, lol) ms bon, jme rattrappe qd même...

    Alors pr tt vs dire, je ne connais pas leur biographie mais j'arrive au moins à les reconnaître... donc de gauche à droite nous avons Uruha, Kai, Ruki, Aoi et Reita.

    Alors si je peux vous conseiller qq titres, voici ma selection:
    * Anata no tame no kono inochi
    * Doro darake no seishun
    * Zetsu
    * Ruder
    * Red mortel
    * Mad marble hell vision

    votre commentaire
  • Pour continuer ac cet article ds libération, je n'ai plus qu'une chose à en dire (ac l'aimable participation d'Albert Einstein:

    " Deux choses sont infinies: L'univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l'univers, je n'ai pas encore acquis la certitude absolue."

    Comme quoi, une fois de plus, la "bêtise humaine" nous montre toute l'étendue de son génie...

    Et sur la photo, vous pouvez voir Shinya et Toshiya qui ont été pris par cet ****** de journaliste pour des femmes.


    votre commentaire
  • Voici l'article à propos du concert de Dir en Grey à l'Olympia ds le journal 'Libération'... Impardonnable...

    " Dimanche soir, l'Olympia accueillera pour leur première date en France le groupe Dir en Grey. Pour les non-initiés (à peu près tout le monde), cette nouvelle ne risque pas de modifier d'une quelquonque manière le planning du week-end. Mais pour des milliers d'adolescents, l'évènement s'apparente à la venue de Dieu sur Terre.

    Composé de Kyo (voix), Die (guitare), Kaoru (batterie) et de deux jeunes femmes, Shinya (percussions) et Toshiya (basse), Dir en Grey est le groupe de métal japonais de référence. Musicalement, les présentations sont simples; une pluie de notes de guitares, une voix de Pokemon monté sur ressorts que supplante une batterie prompte à griller quelques millions de neurones si, par mégarde, on s'en approche de trop près. 

    "Souffrance". Dans le texte, la carte de visite est plus complexe. La biographie du groupe avance: "Formé en 1997, les Dirs en Grey ont pour seul but d'exprimer la peine causée par la lâcheté et l'égoïsme de l'être humain. Avec le temps, leur souffrance est devenue plus qu'un mode d'expression: c'est désormais un message." Qui dit mieux? Si les cinq, cheveux rouges et regard sombre, débarquent en France, c'est grâce à la pugnacité d'une poignée de groupies. Pétitions, mailing et sites Internet ont fait pression sur le tourneur pour qu'il organise leur venue. Ils sont dans un premier temps pressentis au Bataclan. Mais les fans ont cassé leur tirelire et, devant le nombre de billets prévendus, le groupe se tourne finalement vers l'Olympia. Plus qu'une simple formation de métal, les Dir en Grey sont les porte-parole d'une jeune génération désabusée qui ne retrouve plus l'expression de sa souffrance dans la pop française.

    Plus largement, le groupe représente un phénomène japonais dont les ramifications ont rejoints la France. Le Visual Key, sorte de croisement entre jeux vidéo, mangas et métal a de loin supplanté les batcaves qui sévissaient dans le sillage de Robert Smith ou des Sisters of Mercy au coeur des eighties. Là-bas, 90% des adeptes sont des filles. En France, le mouvement est mixte.

    Ninja androgyne. Ces nouveaux gothiques connectés en haut débit sont aussi coquets: protège-tibias en matériau composite, maquillages appuyés, coiffures destructurées. Sur l'Internet, les blogs (ces journaux intimes mis en ligne) dédiés au genre fleurissent. Lors de conventions, on pose en tenue de ninja androgyne. Selon Renaud Valdenaire, de Free Will, la société qui parraine Dir en Grey en Europe, "l'attachement au groupe est une affaire de musique et d'esthétique. Comme Dir en Grey chante en japonais, les fans ne comprennent pas forcément les paroles. C'est donc le look et les maquillages, assez proches du théâtre nô, qui prévalent. Les musiciens sont pour eux des icônes".

     

    pix



    2 commentaires
  • Encore une fois, les Dirs ont vraiment gérés sur scène... Je pense même que ce concert à Paris a été encore meilleur que celui à Berlin (ce dernier étant déjà mémorable!!!). Toshiya semblait beaucoup plus présent sur scène... Ils ont été géniaux.

    Après une attente interminable de bout et de tps en tps sous la pluie, on entre enfin ds la salle. On est tous collés les uns aux autres et des mouvements de foule commencent alors qu'il n'y a même pas de musique... puis arrive Eths en première partie (j'en parlerai pas vraiment puisque j'ai pas aimé et puis, le plus important, c'est Dir en Grey de toute façon!!!)...

    Et donc, le moment tant attendu arrive... ils montent sur scène face à un public déchaîné! Merciless cult, C... Par moment Kyô se griffe, se frappe... rapidement il fini torse nu... Kaoru reste assez sobre et class (comme d'hab'), tjrs concentré sur sa musique et sa guitare. Assez souvent, il s'avance vers le public et se la joue 'provoc'... Die et Toshiya sont, quant à eux, complétement déchaînés!!! Ils n'arrêtent pas de headbangués... avant d'aller à droite à gauche pr s'approcher de nous... Et Shinya, lui aussi complétement déchaîné sur sa batterie. Une fois encore, il ns a montré tte l'étendu de sa force et de son talent...

    Bon, je ne connais pas tt les titres (honte sur moi, je sais) ms on a eu qd même l'intégrale de "Withering to death", et le concert c'est fini en apothéose avec Child Prey...

    Enfin bref, pr résumé, ce concert fût un concert d'exception... mythique..... je pense qu'il sortira en DVD et il me tarde de le voir, et il me tarde de les revoir un jour sur scène....


    2 commentaires
  • J'adore les guitares de Mana ( à gauche ) et Közi ( à droite ). Elles  sont trop classes et je veux les mêmes >.< ( surtout que je suis trop nulle à la guitare ms faut pas le dire!!! )


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique